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Présentation d'une psychopathe pyromane

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Présentation d'une psychopathe pyromane Empty Présentation d'une psychopathe pyromane

Message par Shunrow_Da Jeu 14 Avr - 15:52

MA VIE EN-DEHORS DU MONDE DU PC
Mon nom : j'le dirai pas ! Èwé
Mon âge : 1391 ans, 15è régénération
Mon âge (pour de vrai cette fois-ci) : 14 ans, je suis actuellement en 2nde (en route vers la 1ère S !!)
Mes hobbies/passions : J'aime lire, écrire (je tiens un blog et projette d'ouvrir une chaîne youtube dédiée), jouer aux jeux vidéos (je fais équipe avec ma sista Sumi_ko sur la chaîne IlluminaTwins), écouter de la musique (à peu près tout ce qui passe à portée de mon oreille, excepté le rap), et la CHIMIE !

MA VIE DANS L'AINCRAD LE VIRTUEL

Mon histoire RP (accrochez-vous bien, c'est pas pour les gosses !)

Je suis née comme n'importe quel enfant, dans un hôpital. Malheureusement, ma naissance fut fatale pour ma pauvre mère, qui mourut peu après m'avoir mise au monde, le temps de m'avoir donné un nom : Shunrow-Da. Personne ne s'est déclaré comme étant mon père. Les gens de l'hôpital se sont occupés de moi pendant près d'un an. J'ai appris à marcher et à parler, bien que je préfère rester assise dans un coin sans prononcer un mot la plupart du temps. L'année passée à l'hôpital fut néanmoins la plus belle de ma vie. Lors de mon premier anniversaire, une dame est venue me chercher pour m'emmener ailleurs. Selon ses dires, elle m'emmenait « dans un endroit beaucoup mieux pour moi ». Quelle menteuse !
Elle m'a jetée dans un endroit où j'étais en permanence entourée de bruit d'autres enfants que je ne connaissais même pas. Les adultes qui s'occupaient de cette structure me dévisageaient souvent lorsque je restais dans mon coin, comme d'habitude. Les infirmières, elles, elles ne me jugeaient pas du regard comme ça. D'autres adultes passaient parfois et emmenaient un ou deux enfants. Moi, j'apprenais à lire et écrire, et je battais les adultes aux échecs. Au bout de cinq ans passés ici, je commençais à apprécier cet endroit. J'avais trouvé une cachette pour lire en toute tranquillité, et les grands ne me rattrapaient pas aux échecs. Mon sixième anniversaire s'était bien passé. Les bougies enflammées m'amusaient toujours autant.
Un monsieur venait régulièrement regarder les enfants jouer dans la cour et une nuit, alors que je m'étais échappée du dortoir, il m'avait parlé.
« Tu devrais être au lit, jeune fille, me dit-il avec un ton sévère.
- Je ne suis pas la seule, répondis-je simplement. »
Il sourit et sortit de son sac un échiquier ainsi que des pièces d'échecs.
« Noirs.
- Si tu insistes... »
Il enfila une lampe frontale et éclaira le jeu.
« A2, A4. »
Et nous avons ainsi joué aux échecs, par clôture interposée. La partie dura près d'une heure. Jamais je n'eus autant de mal à gagner contre un adulte. A la fin de la partie, nous nous sommes regardés un moment, sans un mot. Jamais je ne me suis sentie si proche d'un adulte. Au bout de quelques minutes de conversation silencieuse, nous sommes repartis chacun de notre côté.
Le lendemain, je quittais les autres enfants au côtés du monsieur des échecs. Nous sommes arrivés dans un appartement assez mal rangé, mais cela m'importait peu. Le monsieur m'a dit s'appeler Harry et nous avons rejoué aux échecs. Nous nous entendions bien, jusqu'au moment où il m'a montré ma chambre.
Un lit de camp, un bureau improvisé, une vieille chaise et des cartons. La porte s'est verrouillée derrière moi avant que j'aie pu comprendre ce qui m'arrivait. J'ai hurlé, pleuré, frappé sur la porte qui restait désespérément close. Il n'y avait pas de fenêtres, la seule lumière qui me parvenait provenait d'un vieux néon poussiéreux. Harry m'expliqua qu'il était médecin chercheur, qu'il travaillait sur une théorie importante par rapport à l'intelligence et la précocité des enfants, mais qu'on lui avait interdit de continuer ses tests, car on les jugeait inhumains.
« Mais ils avaient tort, et grâce à toi, je vais le leur prouver. Tu comprends ? »
Sa copine l'avait quitté lorsqu'il avait été radié de l'ordre des médecins, il est maintenant obligé de faire des petits jobs par-ci par-là pour réussir à louer ce taudis. Les larmes coulent sur mes joues. J'ai six ans, je suis une surdouée et je suis séquestrée par un chercheur complètement fou. Harry passa plus tard pour me servir un repas et me donner une grande bouteille d'eau, avant d'éteindre la lumière en annonçant qu'il était l'heure de dormir et que les tests commenceraient le lendemain.
Les deux années passées au côtés de cet hommes furent un véritable enfer. Les tests semblaient simples de prime abord ; mais à chaque erreur, un fer rouge vif venait s'appuyer contre ma peau. Je hurlais de douleur, pleurais à chaudes larmes, implorait qu'on arrête, rien n'y faisait. Rien ne pouvait le faire dévier de son idée fixe : prendre sa revanche sur la vie.
Mes nuits étaient remplies de cauchemars, chaque échec était plus douloureux encore que le précédent. Mes repas étaient de plus en plus légers, parfois je ne mangeais même pas. Cet homme était fou. A lier.
Deux ans se sont écoulés comme ça. Les brûlures étaient de plus en plus fortes, les cicatrices fleurissaient sur mes bras, mon dos et mes jambes. Une nuit, mon geôlier est venu dans ma chambre et, en prenant soin de verrouiller derrière lui, commença à me toucher à des endroits auxquels, j'en reste persuadée, il n'avait pas le droit de toucher. J'avais huit ans, mais j'étais brisée par les mauvais traitements. Alors, n'écoutant que mon instinct, je frappai aussi fort que j'ai pu à la tête. Il tomba, inerte. En posant une main sur son torse, je le sentis se soulever doucement. Il était juste assommé. Je le fis lourdement monter sur ma vieille chaise et, en déchirant sa chemise et ma taie d'oreiller, j'ai pu l'attacher et le bâillonner. J'aurais pu m'arrêter là, mais j'associais tellement de douleur à cet homme que je n'ai pu me résoudre à simplement emporter mes affaires et quitter l'appartement.
Un peu plus tard, tandis que j'avais mis sa barre de fer à rougir, je l'entendis se réveiller, puis tenter d'appeler à l'aide. Alors, avec un calme dément, je suis revenue dans la pièce, un sourire fou sur les lèvres, les yeux transpirant l'insanité. Et il s'affolait encore et encore, il tentait de m'amadouer en adoptant un ton plus doux, mais lorsque je vis le fer rouge, j'étais perdue. Avec une seule idée en tête : la vengeance.
Alors, lentement, avec toujours le même calme malsain, sans le moindre mot, j'ai contemplé le métal brûlant qui m'avait tant fait souffrir. Maintenant, la tendance se renversait. Maintenant, c'était moi qui avait le pouvoir. J'ai appuyé le fer sur son bras, une bonne vingtaine de fois. Puis je me suis attaquée à son autre bras. Et enfin, j'avais presque gagné, l'échec et mat était si proche... Oh, en parlant d'échecs ! J'aurais bien aimé faire une dernière partie contre lui. Mais bon. Tant pis. Je commence à approcher la barre de son ventre en accentuant mon sourire d'un cran. Lui ? Il hurlait, comme moi lorsqu'il m'infligeait sa torture. Je ne m'attarde pas vraiment sur son torse et son ventre, ce jeu-là m'a lassé. Je préfère lui donner le coup de grâce tout de suite... quoique. J'ai envie de jouer un peu avec son visage. Avant qu'il n'ait pu réaliser ce qui allait lui arriver, une barre de fer rouge vint se planter en plein dans son œil, tandis qu'un rire dément se fit entendre. Mon rire dément. J'épargnai son autre œil pour qu'il puisse voir la suite. Elle ne fut pas très longue. La barre encore bien assez chaude s'enfonça dans son cœur. Le sang gicla sur mon visage et mes vêtements sales, son corps s'agita encore un peu, avant de se détendre une bonne fois pour toutes. Avant de m'en aller, je fouillai ses poches pour y trouver son portefeuille, contenant des espèces et sa carte bancaire. Je récupère les espèces, on ne sait jamais. Dans sa poche droite, je trouvai un joli briquet en métal. J'étais obligée de l'activer pour voir la flamme danser devant moi. Les flammes de mes gâteaux d'anniversaire, pourraient-elles engloutir tout ça ?
J'enflamme le pantalon d'Harry, puis les cartons que j'ai vidés, puis la table et enfin le lit, avant d'abandonner le lieu de mon crime.
Au fil de mon errance, je passai devant le poste de police. Je regardai longuement la porte vitrée avant d'entrer. De toute façon, je n'avais ni famille ni foyer. La prison, je m'en foutais bien à ce moment-là. J'entre en annonçant tranquillement :
"J'ai torturé et tué un homme avant de brûler son cadavre."
Les policiers m'ont interrogée et balancée dans un asile. Camisole de force, chambre d'isolement, j'ai rencontré Sumi_ko. Une fille qui est passée par à peu près les mêmes épreuves que moi, et qui pose pas de questions sur mes cicatrices de brûlures dans le dos. Au fil des mois, on a appris à se connaître, et nous nous sommes adoptées comme sœurs. Après nous être échappées de notre enfer, nous errons sans grand but à travers la ville.

Caractère de mon perso

Très réservée, quasi-muette, seules les personnes que j'estime ont le privilège d'entendre le son de ma voix. Par contre, peu importe mon adversaire, je ne refuse jamais une partie d'échecs.
Je ne suis pas une rebelle, simplement quelqu'un qui agit un peu comme elle veut. Toutefois, je ne vole que quand c'est nécessaire.

Physique

1m60, cheveux noirs, longs et jamais coiffés, yeux gris.

Shunrow_Da

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Message par samuel(therpcraft) Jeu 14 Avr - 23:57

" seules les personnes que j'estime ont le privilège d'entendre le son de ma voix"
Donc tu as estimé que j'ai le droit d'entendre le son de ta voix Razz
(PS: si jamais je suis le petit builder de therpcraft Razz  )

samuel(therpcraft)

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Message par Shunrow_Da Ven 15 Avr - 1:01

Tu devrais être irradié de joie et d'honneur pour avoir eu ce privilège èwé

Shunrow_Da

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